vendredi 1 janvier 2010

Delphine de Malherbe et sa vie érotique ou sans eros que serait l'Amour

Que faire un soir de réveillon, seul, loin de ceux qu'on aime ou de ses amies.
Certain, on peut être fait un tour en recherche de solitude sur point.commun.com, facebook, Myspace ou Twitter.
D'autre comme moi on exploré la possiblilité de se blottir sous la couette dans l'oubli des autres, bien au fond du lit avec son roman "Vie Erotique" pour s'imaginer à deux avec les dessins de Isild Le Besco et se perdre dans des phrases esquises et les mots des fantasmes de Delphine.






Puis aprés quelques minutes en face à face littéraire, ...l'alumer desespérément cette téloche là, pour le son d'une présence.
Vite, j'ai été dans une certitude que celà inaugurerait pas une excelente année.
Pour se décider à sortir, il faut finalement du courage.
Aller, place de Stanislas fut mon choix, j'aime cette place royale, c'est la mienne pour cette vie.
Elles était pleine lumiére d'or entre des ombres nombreuses d'âmes divagantes parfois bouteille à la main et rondes comme des pelles.
Franchement, heureusement que mon ventre eu faim et comme seul un grand hôtel un jour de Saint Sylvestre vous permet sans reservation de consomer un en cas, Celui de la Reine m'offrir dans l' endroit chaleureux de ses fauteuils le plaisir de savourer une ou deux coupes de champagne en dégustant une tarte meringuée à la rubarbe, j'en ai encore l'eau à la bouche.
On n'y est pas vraiment moins seul, mais un sourire, quelques mots avec un homme en retraite et un instant de séduction offert par une belle femme, entre deux articles du Figaro locale, c'est plus sympa que la prise de tête de Dechavane.
Aprés minuit, si vous ne pouviez vous résoudre à dormir, je ne sais pas ce que vous auriez fait surtout, à paris, peut être y est t'il possible de finir sur une piste de dance à deux ...pour un tango ou une valse et une Salsa .
Rien tout de cela en Lorraine que je connaisse, mais il y a une grande disco de campagne à parking de supermarché à quelques encablures ou quelques minutes que connaissait que de vue.
J'avais envie de dancer, et je regrette pas, cet endroit avec trois salles, trois pistes, trois musiques, trois ages, simple et sympa, ce lieu égyptien ou vous pouvez méme avoir un hot dog à la moutarde froid en début de matinée.
Hé, des annés que j'avais pas dancé !
Il est méme possible de faire la fête seul et le tout en une soirée, de rentrer à six du matin toujours bien aussi quarantenaire en divorce avec une bonne cuite en mazout décénal.
Mais il faut parfois cela pour chauffer le moteur et pouvoir oser redancer à la Mateo Porcus quand cela fait tant d'années que l'on pas trémoussé ses fesses et enroulé les bras, mais je vous l'assure la dance, c'est comme le vélo, on ne l'oublie pas.
Et méme pas mal à la tête ce matin...finalement que la vie est belle dans la campagne et qu'il est beau se souvenir de cette femme jolie, jeune, fine, souriante, légére...que je n'ai pas osé aborder autrement que par les yeux qui se touchent de loin dans la timidité de l'autre qui vous impressionne.
Elle est passée un instant dans ma vie mais je m'en souviendrais, il y a des visages qui se gravent définitivement dans nos mémoires.
Bonne année à toutes et tous

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